Collection Homme Femme. Le Proviseur, La Prof De Math, Moi Et… (1/2)

- Bonsoir monsieur Léon, ce soir ce sont les vacances de Pâques et j’ai oublié mon portable en salle de cour.
- Allez le chercher mais faites vite, le proviseur est encore là et il a horreur que les élèves traînent dans les couloirs après les heures de cour.
Je devrais vous accompagner mais je suis en train de réparer la connerie d’un de vos congénères et moi aussi j’aspire aux vacances.

C’est moi Lionel, le bout entrain de cette école mais aussi le plus tête en l’air.
Mon portable a sonné l’heure des vacances avec la chanson de Sheila, l’école est finie ce qui a fait marrer tout le monde sauf madame Susy la prof de math qui avec son chignon et ses grosses lunettes rondes est à gerber.
J’ai ramassé une soufflante sous les rires de mes copains, j’avais encore réussi mon coup mais j’ai ramassé mes affaires oubliant celui par qui le scandale aurait pu arriver.

Je vais par un couloir jusqu’à la salle un peu anxieux espérant qu’aucun pote le voyant l’ait ramassé.
Un iPhone dernière génération acheté par ma grand-mère pour mes dix-neuf ans.
Ouf, il est là, par chance, j’étais en fond de classe et un peu caché des autres.
Le fond de classe, place attribuée depuis mon plus jeune âge aux cancres dont je fais partie.
Cancre au point de redoubler ma terminale ayant déjà loupé mon bac une fois mais que je compte bien avoir cette fin d’année.
Justement, en plus de faire de la musique, un programme me permet d’enregistrer certains cours et les réécouter tranquille chez moi.
J’en ai plusieurs qui vont me servir pour réviser et ainsi atteindre mon but et celui que mes parents m’ont fixé un fils de notaire est fait pour devenir notaire et rependre la clientèle.
Une année sabbatique ce qui a entraîné mon échec au bac ça suffit, je tiens à avoir une mention.

J’étais venu par un couloir, je repars par l’autre côté comme nous le faisons chaque fois que nous sortons de cour.


Je me rends compte que ça me fait passer devant le bureau du proviseur.
La porte est entrouverte.
Je sais qu’il est là, je passe sans faire le moindre bruit.
Je sursaute quand j’entends parler.

- La porte est restée ouverte.
- Reste sur ma queue, à part Léon, tout le monde est parti.
Léon répare une porte et depuis qu’on fait des heures supplémentaires, à moins d’être un taré, il doit bien se douter qu’entre nous c’est autre chose que des perles que nous enfilons.
Je l’ai moi-même surpris à picoler dans sa loge, il sait ce qui lui en coûtera s’il ébruite notre liaison.

Je pousse légèrement la porte, le proviseur monsieur Romain est assis dans son siège de ministre.
Susy la prof aux lunettes ronde a sa jupe relevé sa chatte épilée plantée sur le sexe de son amant.
Elle monte et elle descend les seins à l'air malaxés par son amant les ayant sortis de leurs enveloppes chemisier et soutien lolo.
Le contenu est bien caché, elle a des seins magnifiques.
J’ai mon portable en main alors je démarre une vidéo.

- Quinze jours sans toi, ça va être long.
- Viens chez moi, nous serons là aussi seuls.
Tu lui dis que tu fais ton jogging.
- Tu sais que ma femme divorcerait me privant de mes s, c’est impossible de prendre un tel risque si elle l’apprenait.
- Baise-moi fort, j’aime quand tu me sexes.

J’ignore la résistance du couple et si Léon va finir par trouver le temps long pour un portable.
Je coupe et je retourne jusqu’à la loge.
Je frappe pour prévenir de mon départ.
Ça tarde à répondre.
J’ouvre la porte de la loge.
Léon est de dos devant un buffet, un verre en main qui picole comme le proviseur l’a dit.
Le portable filme encore.

- Petit trou du cul, donne-moi ce portable pour que j’efface ce que tu viens de voir.
- Adieu monsieur Léon, reprenez votre bouteille, à dans quinze jours.

Je suis satisfait de moi, je vous l’ai dit, je suis un bout entrain aussi rentré dans ma chambre, je me livre à quelques travaux avant d’attaquer les cours enregistrés.

Je mets tous sur une clef USB avec une petite compo musicale ma passion du moment.

« Petit trou du cul, me privant de mes s. »
« Si ma femme le savait, petit trou du cul. »
« Mes s, ma femme divorcerait. »
« Me privant, petit trou du cul. »
« Divorcerait, si ma femme le savait. »

En boucle avec une musique électronique grâce aux différents appareils que je m’offre ou me fais offrir dans mon home studio.
J’ai envie de m’amuser.
La prof habite dans un immeuble moderne non loin de chez moi, plutôt de mon père et de ma mère au-dessus de notre étude.
Je vais à sa boîte aux lettres et je glisse une enveloppe avec la clef et une lettre imprimée sur mon ordi.

À l’heure indiqué j’arrive dans le parc et je vais aux latrines, je me cache en passant à l’arrière.
16 heures, une femme arrive, au premier abord, je pense que c’est une autre personne que celle que je côtoie au lycée.
Cheveux flottant au vent, sans ses lunettes avec une jupe ample, un débardeur et des baskets.
16 heures, une femme arrive, au premier abord, je pense que c’est une autre personne que celle que je côtoie au lycée.
Quand je la vois repartir prestement, je suis satisfait, elle semble mordre à l’hameçon.
Une fois hors de sa vue, je suis le même chemin pour entrer dans son immeuble quelques minutes après elle.

Elle a encore une chose à faire dans sa directive.
Pour ceux qui ignoreraient ce que je lui ai demandé, je la vois s’asseoir, relever sa jupe après avoir regardé si elle était seule et écarter ses cuisses me montrant de nouveau sa féminité épilée.

- Lionel, c’est vous, j’aurais dû me douter qu’en plus d’être un fouteur de merde, vous êtes un maître chanteur.
Vous avez de la chance que Romain risque de perdre ses s sinon je vous aurais dénoncé à la police.
- Vas-y, crache ton fiel, écoute.

Je fais démarrer mon portable sur la comptine que j’ai créée sur les phrases enregistrées dans le lycée.


- Tu sais ce que j’attends de toi !

Nous entrons dans ce qui doit être son bureau où elle corrige nos copies.
Elle sait, j’ai juste à lui appuyer sur l’épaule pour qu’elle descende à la hauteur de mon costume trois-pièces.
Je l’ai vu se faire baiser mais elle doit en connaître bien plus car ma verge disparaît au fond de sa bouche.
Elle l’a assez grande pour que mes couilles touchent son menton.
En baissant ma tête, je vois ses seins qui me font encore bander plus fort.
Je la relève évitant de lui emplir la bouche.
Je veux son cul et ce sont ses seins sur son bureau que je lui mets mon sexe au fond de son vagin.

- Oui, c’est bon.

Bref la litanie d’une femme qui aime ce que vous lui faites et qui le fait savoir à la seule personne présente dans la pièce.
Tout en baisant cette vieille salope, je vois son agenda ouvert où un rendez-vous m’interpelle pour le mercredi.

« Soo 15 heures. »

Soo, la coqueluche du lycée, 18 ans car contrairement à moi elle passe de classe en classe sans aucun problème.
Soo est eurasien.
Père français plus grand avocat de notre ville et mère coréenne du Sud elle-même orthophoniste donnant à sa fille son petit air exotique.
On a tous rêvé de lui mettre notre sexe où je suis en train de finir avec la prof de math, mais elle fait partie de ces filles réticentes même si le dimanche depuis longtemps la famille oublie d’aller à la messe.
Des copines, une cour de copines.
C’est en pensant à cette petite salope que je finis la prof, lui apportant son plaisir.

- Merci, tu reviendras, évite de faire du mal au proviseur et à sa famille.
Chez lui, il est frustré sa femme est un cul béni.
Je protège cette famille en baisant avec lui, sinon il les quitterait tous.

De retour dans mon antre, je suis assez satisfait à 19 ans baiser sa prof de math même si je dois le taire à tous, est un exploit que certainement bons nombres d’entre vous auraient bien aimé en faire autant.

Depuis que j’ai vu le nom de Soo sur le calepin de Sylvie, j’ai l’impression de passer à côté de quelque chose de primordial.
J’ai beau chercher, je sais que quelque chose existe sans pouvoir dire ce que sait.
Comme l’on dit, la nuit porte conseil.
Je me réveille, mon cerveau continuant de travailler au lieu de dormir me donne la solution.
Je me lève prend mon casque pour éviter de réveiller le notaire.
Quand j’ai enregistré l’un des cours de math, Soo était à quelques mètres de moi avec sa copine Aline.
Je reconnais leur voix sans pouvoir dire ce qu’elles se disent.

C’est là qu’un home studio est important, je travaille à effacer les bruits parasites et finis par entendre.

« Putain elle est bandante cette prof de math.
Elle te donne des cours particuliers, tu peux essayer.
J’ai toujours reculé, si elle comprenait ce que je veux on est majeure merde. »

La fin un peu grossière dans la bouche d’une jeune fille.
Avant de me recoucher, je me rappelle.

« Soo mercredi 15 heures. »…

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